1.Au trente-et-un du mois d’août (bis)
Nous vîmes venir sous l’vent à nous (bis)
Une frégate d’Angleterre
Qui fendait la mer et les flots
C’était pour attaquer Bordeaux !
Refrain :
Buvons un coup,
Buvons en deux,
À la santé des amoureux !
À la santé du Roi de France,
Et merde pour le roi d’Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre !
2.Le commandant du bâtiment (bis)
Fit appeler son lieutenant (bis)
« Lieutenant te sens-tu capable,
Dis-moi te sens-tu-z-assez fort
Pour prendre l’Anglais à son bord ? »
3.Le lieutenant, fier-z-et hardi (bis)
Lui répondit : « Capitain’-oui (bis)
Faites branle-bas à l’équipage
Nous allons hisser pavillon
Qui rest’ra haut, nous le jurons ! »
4.Le maître donne un coup d’sifflet (bis)
En haut larguez les perroquets (bis)
Largue les ris et vent arrière
Laisse porter jusqu’à son bord,
Pour voir qui sera le plus fort ! »
5.Vire lof pour lof en arrivant (bis)
Je l’abordions par son avant (bis)
À coups de haches et de grenades,
De pics, de sabre et mousquetons,
En trois cinq sec je l’arrimions !
6.Que dira-t-on du grand rafiot (bis)
À Brest, à Londres, et à Bordeaux (bis)
Qu’a laissé prend’ son équipage
Par un corsaire de six canons
Lui qu’en avait trente et si bons !
AU 31 DU MOIS D’AOÛT
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